L’animateur de cet atelier, le comédien Bernard Verlhac, m’avait demandé d’écrire une pièce pour le spectacle de fin d’année parce qu’il ne trouvait pas de pièce permettant à tous les élèves de jouer. Nous étions en effet très nombreux, avec une nette majorité de filles.
Comme les anges n’ont pas de sexe, l’idée me vint de mettre en scène le Paradis et son pendant, l’Enfer... Tout ce petit monde décide de créer le monde à la manière de créatifs d’une agence de publicité, avec dans le personnage de Dieu une sorte de Séguéla céleste...