La télévision que j’ai connue aux Buttes Chaumont, celle des Raisins Verts de Jean-Christophe Averty, des variétés de Maritie et Gilbert Carpentier, celle du Grand Echiquier de Jacques Chancel, de Droit de réponse de Michel Polac, n’existe plus.
En 1988, avec la multiplication des sociétés de production dirigées par des animateurs, la télé a pris un virage. Moins de directs, moins d’exigence, moins de respect du public... et des travailleurs du spectacle.
Aujourd’hui je ne regarde plus à la télévision que les séries américaines, comme Medium, Supernatural, Cold Case, Les Experts, Desperate Housewives, qui sont remarquables — et les documentaires des chaînes thématiques du satellite.
La télévision ne me manque pas. Je suis toujours entre ombre et lumière... mais dans d’autres domaines maintenant !